Maison Saman x Ludovic Renson

Maison française de design, d’édition et de fabrication de meubles sur-mesure et de collections limitées, MAISON SAMAN  exerce ses savoir-faire pour des projets de résidences privées comme pour des hôtels, restaurants ou boutiques. La marque est née en 2018 de la passion d’un couple audacieux, voyageur et exigeant, pour les matières. De leurs années de vie en Amérique du Sud et en Asie, Alice et Antoine ont affiné leur idée du Beau et de l’élégance. Le parcours de ces deux autodidactes a été façonné par les rencontres : c’est de cette manière qu’ils ont découvert et perfectionné la signature de MAISON SAMAN, le bois brûlé.

saman.fr


©Ludovic Renson

Après son diplôme des Beaux Arts de Lorient qui traite de la relation entre volume et espace, LUDOVIC RENSON intègre l’Ecole Supérieure des Arts et Techniques à Paris et obtient en 2001 son diplôme d’architecte d’intérieur. Rapidement, il collabore avec diverses agences d’architecture intérieure et de design mobilier, lui permettant de travailler sur des projets de différentes envergures. Ses multiples collaborations, notamment avec Noé Duchaufour-Lawrance ou Angie Anakis, l’encouragent à développer parallèlement ses projets de design mobilier. En 2010, il s’installe à Bordeaux et crée son agence où il développe des projets d’architecture intérieure et de design mobilier.

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Collection

« SHINSHOKU »

ou « érosion » en japonais. Cette collection s’inspire du temps qui passe, qui s’érode, comme

une pierre polie par le temps, l’eau, usinée par le climat.

Les meubles en bois brûlé traduisent le passé, l’usure,

la résistance, le travail de la nature. En opposition, l’ajout de matières — comme les chutes de laiton et

de marbre — crée une dualité entre les matériaux, jouant

sur les rapports de textures : entre rugosité et poli,

entre matité et brillance.

De par les matériaux utilisés et leur mise en avant, ces éléments de mobilier font référence au mouvement de l’Arte Povera : ils ne permettent pas de définir

une fonction précise, mais questionnent le rapport

aux objets qui nous entourent.

©Adrien Millot

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